Il faut bien sur en premier lieu insister sur l'importance de l'explosion du financement externe direct depuis les années 80 et le risque systémique subséquent.
J'insisterai aussi sur la suprématie de la logique financière résultante de l'exposition croissante aux marchés (OPA, OPE...), la recherche de rendements plus importants pour les entreprises au détriment des investissements, le gonflement artificiel des dividendes, la spéculation sur les monnaies qui pénalise parfois les entreprises (Airbus). La logique financière induit forcément des bouleversements sur l'économie réelle (participations croisées). Un risque de destabilisation et de systématisation des crises existe.
A fortiori, la hausse des taux d'intérêts est alors problématique pour le pouvoir d'achat des ménages et pour l'Economie. A contrario en situations de crises les banques centrales font des politiques de "quantitative easing"...
Plusieurs plan me paraissent jouables :
1)Le marché outil de financement de l'Economie
Mais
2)de nombreuses dérives des marchés financiers peuvent influer substantiellement sur l'Economie réelle.
Il me parait important de développer un descriptif des évolutions structurels (3D etc.) des 30 dernières années jusqu'à la dernière crise récente de 2007 (début de la dernière grande crise) mais aussi dans une sous-partie détailler toutes les résultantes, décisions des g20, Bale3 et toutes les réglementations ou incidences nées de la crise qui perdure jusqu'à aujourd'hui. Sans oublier dans une dernière sous-partie de parler de ce qu'il incombe de faire pour pallier durablement aux disfonctionnements du marché ( avec notamment un aperçu des débats nombreux existants à propos de la gouvernance économique et des échelles de décision pertinentes.)
Il faut subséquemment s'acheminer vers une logique -inévitable- de gouvernance economique mondiale.
Bibliographie utile : Tempo concours Vuibert : Problèmes économiques et sociaux contemporains.
Éditions bréal : 100 fiches pour