La première chose que j'ai appris à propos de l'Inde, c'est que mes parents avaient choisi de le quitter. Mes cousins en Inde demandait parfois si j'étais indienne ou américaine.
«Américaine», je dirais, parce que c'était la vérité, et parce que je sentais que de dire le contraire reviendrait à accepter une couchette inférieure dans le monde. J'ai déménagé à l'Inde il ya six ans, dans un effort pour le comprendre sur mes propres termes, de rendre la mienne ce qui avait jusque-là seulement appartenait à mes parents.
L'Inde a été change lorsque je suis arrivé et a changé radicalement, viscéralement, improbable dans ces 2.000 jours: fermes pour laisser place à des usines; ultra-bon marché voitures en cours de construction, les compagnies achetant des concurrents à l'étranger. Mais le plus grand changement que j'ai vu est ailleurs.
Il est dans l'esprit: les Indiens savent maintenant qu'ils ne disposent pas de partir, car mes parents sont partis, d'avoir leurs révolutions personnelles.
Il m'a fallu du temps pour voir. Au début, mes anciennes lentilles étaient encore en place - l'Inde, le frustrant, pays difficile - et si je ne voyais que les choses que je n'avais jamais vu.
Mais comme je l'ai parcouru la terre, les données ne correspondent pas au cadre.
Les enfants des castes inférieures étaient se hisser jusqu'à un diplôme et de formation à la fois. Les femmes sont de plus en soutiens de famille par le biais du microcrédit et de la fabrication décentralisée.
Les jeunes trouvaient dans leur téléphone portable une première zone de l'identité individuelle. Les couples ont été clos mariages, peu importe ce que «la société», pense, puis de trouver l'amour à nouveau.
Les végétariens ont été embrassant la viande et les mangeurs de viande se tournent végétarien, se définissant par goût et par la foi et non la caste.
Indiens des villages vers les villes langoureux pulsation faisaient des choix difficiles nouveaux meurent autre que celui où ils sont nés, de