Influences sur ronsard
Pétrarque est passé à la postérité pour la perfection de sa poésie qui rime son amour pour Laure.
Horace, en latin Quintus Horatius F., (Vénose, 8 décembre -65 – Tivoli, 27 novembre -8) est un poète romain.
Les satires littéraires d’Horace : Horace s'y défend contre ceux qui lui reprochaient d'avoir choisi le cadre de la satire ou de s'y montrer trop inférieur à Lucilius. Il soulève à cette occasion une véritable QUERELLE DES ANCIENS ET DES MODERNES et se déclare partisan des modernes.
Virgile, en latin Publius Vergilius M., (Andes, 15 octobre -70 – Brindes, 27 septembre) est un poète et écrivain latin.
Ayant acquis l'immortalité littéraire grâce à l'Énéide, Virgile va influencer nombre d'écrivains du Moyen Âge, de la Renaissance (tel Ronsard, qui rédige la Franciade inachevée dans la volonté de donner un équivalent français à l'Énéide et de l'époque moderne).
Pindare, en grec ancien Πίνδαρος / Píndaros, (Cynocéphales -518, Argos -438) est l'un des plus célèbres poètes lyriques grecs.
Les odes pindariques ne se conforment à aucun plan. Le poète lui-même déclare dans sa Xe Pythique : « semblables à l'abeille, mes beaux hymnes de louange volent d'un sujet à l'autre. » Cette variété et cette volatilité ont donné à Pindare la réputation d'un poète difficile, voire abscons. De ce fait, il a ses détracteurs, dont Voltaire n'est pas des moindres : dans une lettre à son ami Chabanon, il le nomme « l'inintelligible et boursouflé Pindare ». Si les Grecs l'ont très vite porté au pinacle, Hérodote parmi les premiers, Pindare n'a pas d'imitateurs. Il fut admiré par Horace et Quintilien, puis par les poètes français de la Renaissance, au premier rang desquels Pierre de Ronsard. On doit à Rabelais le verbe moqueur «