Innovation
- Une innovation majeure (monopole) →profits → appât du gain → innovations mineures (« grappes d’innovations » id aussi bien des entreprises imitatrices que des entreprises utilisant des dérivées de l’innovation majeure) → destruction- créatrice qui révolutionne l’économie → cycle d’une durée de 50 ans (de type kondratiev) avec phase de croissance et de récession →changements profonds de l’économie au niveau de l’emploi (idée du déversement de main d’oeuvre de Sauvy), hausse des niveaux de vie, amélioration des modes de vie, créations de nouvelles activités….. (Doc. 1 et 4) : Schumpeter
- Cette vision optimiste est d’ailleurs confirmée dans le doc 3 qui explique que les EU dont les dépenses en RD représentent 1/3 des dépenses en investissement total dans les années 80 ; or les EU ont un taux de croissance nettement > à celui de la France (de 1990 à
1999 le PIB augmente de 3,2% par an en moyenne aux EU contre 1,6% en France). Les dépenses de RD ont pour objectif la recherche de l’innovation, il existe donc un lien étroit entre dépenses de RD/ innovations et croissance économique.
- En outre, les innovations majeures sont source de croissance par les gains de productivité qu’elles engendrent. Quelle que soit l’innovation (majeure/mineure, de produit/ de procédé/ organisationnelle/ de matières premières/ de nouveaux marchés), l’innovation génère des profits importants (qui sont source de croissance par rapport à l’ensemble des richesses créées sur le territoire) : Or si la recherche du profit est ce qui anime les entreprises (à la différence d’ailleurs de l’entrepreneur innovateur de Schumpeter), il est possible d’accroître les profits de deux façons différentes :
* Soit en augmentant le CA : c’est le cas notamment des innovations de produits id le fait de mettre sur le marché un nouveau produit ou d’améliorer un produit existant (doc 1). En effet plus de 50% des entrepreneurs sondés déclarent