Travail de Constance Dupas.
Interview de Jules Verne
Bonjour monsieur Verne, et merci d’avoir accepté de vous joindre à nous sur le plateau du « Coin des artistes », rubrique des auteurs. Je vais vous posez quelques questions.
Tout d’abord, où avez-vous étudié ?
J’ai étudié le droit à Paris pour ensuite devenir avocat, comme le souhaitais mon père.
Est-il vrai qu’après avoir été avocat, vous avez voulu être agent de change, qu’il vous fallait beaucoup d’argent, et que votre père s’inquiétait ?
Oui, en effet, mon père s’inquiétait beaucoup que je veuille ainsi changer de profession, et surtout, je lui demandais 50 000 francs, ce qui est une somme assez importante !
Est-il vrai que vous avez côtoyé les plus grands tels que Shakespeare ou Hugo ?
Oui, nous sommes amis. Mais ce ne sont pas les seuls, je connais aussi Poe et Dumas fils. Son père est merveilleux. Il est incroyablement intelligent et très humble, il déteste les compliments !
Vos anciens camarades de classe disent que vous couvriez vos cahiers de schémas de machines imaginaires. Est-ce vrai ?
Oui, c’est vrai. Je suis passionné pour les machines, surtout celles qui sortent de l’ordinaire comme dans la science fiction.
Il paraît qu’au lycée vous n’étiez pas un élève modèle, bien au contraire. On dit même que vous étiez dissipé et moqueur. Étiez-vous vraiment comme cela ? Avez-vous changé au fil des années ?
Oui, j’étais vraiment désagréable. Mais non, l’âge ne m’a pas assagi, je suis toujours moqueur même si je parais réservé et froid. Certains personnages de mes romans sont marqués de ce trait de caractère : une personnalité principale refoulée sous une apparence froide.
Avez-vous collaboré avec un de vos amis ?
Oui, j’ai écrit ma première pièce de théâtre, « Les pailles rompues » avec la précieuse aide de Dumas fils. Il y a vraiment apporté énormément de choses merveilleuse, et ce fut un plaisir de collaborer avec un de mes amis les plus proches.
Vous êtes aujourd’hui considéré comme un des plus