Introduction de mémoire

459 mots 2 pages
Au lendemain de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, le parti et le gouvernement avaient, par nécessité institutionnelle (mise en place d’une nouvelle société), lancé le dicton à jamais historique de « l’Enseignement, priorité des priorités ». Pour l’époque, on ne pouvait mieux trouver et, pour les plus avisés des décisions politiques, un mot d’ordre d’un tel réalisme et d’une telle force de mobilisation, ne pouvait qu’être l’expression d’un besoin impérieusement ressenti. Ce dicton, comme le geste de l’artisan de jadis, préoccupé de modelage, de création et d’innovation, avait trahi la profession de foi des autorités politiques et Administratives de l’époque tant il est vrai que l’Enseignement, c’est cette institution mère sans laquelle il ne saurait être question d’éducation, de formation et surtout de construction nationale. En effet, le droit à l’éducation est garanti à chaque citoyen afin de lui permettre d’acquérir le savoir, de développer sa personnalité, d’élever son niveau de formation, de s’insérer dans la vie sociale, culturelle et professionnelle et d’exercer sa citoyenneté. L’éducation est l’une des priorités de l’état. Feu le premier président de la Côte d’Ivoire, le président Félix Houphouët-Boigny, l’a toujours exprimé : « L’école, priorité des priorités » depuis le vote de la loi cadre en 1958. Malgré tous les efforts déployés par le gouvernement pour une scolarisation massive de l’enfant, avec la baisse de l’âge d’entrée à l’école qui est passée de huit(8) à presque quatre(4)ans, en particulier la scolarisation de la jeune fille. Bien que le coût de l’école soit très élevé, (près de 43% du budget de l’Etat de Côte d’Ivoire alloué à l’éducation/ formation, selon un rapport du plan de pérennisation du SNAPS-COGES en 2007) Malgré donc tous les efforts initiés çà et là (la Côte d’Ivoire a ratifié le traité de Rome, il importait pour le gouvernement d’inscrire la promotion et l’épanouissement de la femme dans ses actions. Ainsi pour conférer à cette

en relation

  • Annalyse d'un extrait de « l'école ou la guerre civile » de p. meirieu et m. guiraud
    1341 mots | 6 pages
  • Mémoire implicite
    459 mots | 2 pages
  • loup noir
    363 mots | 2 pages
  • Dossier la mémoire
    1739 mots | 7 pages
  • Annexe mémoire
    883 mots | 4 pages
  • Intervention ddp
    2901 mots | 12 pages
  • Texte off eps
    4320 mots | 18 pages
  • Pchychopéda
    2318 mots | 10 pages
  • Emile ou de l'éducation
    3062 mots | 13 pages
  • Memoire inwi
    363 mots | 2 pages
  • Intro sur les Mémoires
    828 mots | 4 pages
  • Anorexia
    523 mots | 3 pages
  • Intro mémoire
    610 mots | 3 pages
  • philo disseratation
    1055 mots | 5 pages
  • Education Prioritaire
    488 mots | 2 pages