introduction historique au droit
La raison générique : Savoir d’où viennent les choses permet de les comprendre, le manque de regard critique sur l’objet du juriste est un défaut.
La raison comparative : On peut faire du droit comparé dans l’espace, on va regarder ce qui se fait ailleurs, l’histoire permet de faire la même chose dans le temps, au lieu de procéder a une confrontation géographique au procède a une confrontation historique, il est rare qu’un problème soit inédit c’est pourquoi l’histoire nous permet de retrouver des réponses à des problèmes
La raison sociologique : Les juristes communient dans un passé, un milieu commun ils partagent donc des clés culturels un enseignement de culture juridique a l’aspect historique permet donc d’acquis des moyens d’interconnaissance
Qu’est-ce que le droit ?
Le droit français, et plus largement les systèmes de droit continentaux sont extrêmement tributaires du droit romain. CSCE, au 2e siècle av JC écrit que « jus es ars boni et aequo » le droit n’est pas qu’une technique mais aussi un art il y a dans le droit une part de créativité, dire également que le droit est liée au bon et a l’équitable, c’est postuler que le bon et le juste existent séparément du droit et qu’ils sont les objectifs du droit. Techniquement dire que le droit est l’art qui permet l’avènement du bon et du juste c’est être naturaliste, c’est-à-dire postuler l’existence d’un droit naturel que le droit des homme a atteindre, il y a l’approche opposée, qui existe anciennement mais qui s’est construite intellectuellement au 20e sc. qui est l’approche positiviste, cette approche postule que le droit n’as rien à faire du bon et du juste et que le droit et la morale sont séparé et que le droit n’est que ce qui est le droit pratique dans un endroit et a moment donné, le droit est ce qui a été voulue par celui qui a habilite à vouloir le droit . ces deux modelé sont divergents, voilà dans quelle tension se situe le droit que