INTÉGRATION DE LA TURQUIE À L’UNION EUROPÉENNE

Depuis juillet dernier, ce tient en France la saison de la Turquie où l’on célèbre les milles merveilles culturelles de la Turquie jusqu’en mars 2010. Cette saison de la Turquie s’intéresse au tourisme, à l’art, le cinéma, la littérature ainsi qu’à l’histoire. Ce présent travail s’intéresse à l’intégration de la Turquie à l’Union Européenne (UE). Ce processus a débuté en décembre 1999 lors de la rencontre du Conseil européen à Helsinki. Lors de cette rencontre la Turquie a été reconnu comme candidate officielle. Cette intégration est aujourd’hui toujours débattue dix ans plus tard. Les relations turco-européennes sont étroitement liées quant à leur histoire, leurs relations économiques et les nombreuses ententes sur plusieurs autres champs d’intérêts. La Turquie elle-même ce sent européenne, car tout son héritage historique de l’Empire Ottoman à aujourd’hui a joué un rôle éminent dans l’histoire européenne. De plus, depuis plusieurs années elle fait des choix tournés sur l’Occident et l’Europe comme une alliée. Certains croiront que l’intégration à l’Union européenne ne devrait alors être qu’une formalité due aux multiples ententes qui les partagent. Or, la situation est beaucoup plus complexe, car autant de facteurs les rassemblent et les séparent. En effet, cette entrée dans l’UE n’est pas vue d’un bon œil par tous les États membres. Quels sont les éléments en faveurs et ceux contre l’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne? Le contre de débat ne seraient-ils pas dû à la religion et la culture de la Turquie qui est en complète opposition avec celle de l’Union Européenne? Reprenant le mois de la Turquie en France, il d’autant plus étrange car la France étant un des pays les plus opposé à l’entré de la Turquie dans l’Union européenne puisqu’elle n’est pas européenne.
Les obstacles sont nombreux tels que l’économie, la culture, la religion, problème avec la Grèce, question chypriote, le flux