Un soir où justement mes parents recevaient des invités , j’angoissais à l’idée de passer la nuit sans fermer l’œil et cette angoisse me prenait dès que je sus la nouvelle , ou plutôt la mauvaise nouvelle . Le pire était de le savoir des jours à l’avance , je ne pouvais penser à rien d’autre , même en jouant de ma passion , le football , qui me libère l’esprit et me permet d’habitude de me déconnecter du monde . En trotre , rien ne pouvais échapper cette frayeur de mon esprit. Le soir où les invités arrivèrent à la maison , ce n’est pas avec réjouissance que je les accueillais mais avec amertume même si je savais qu’ils n’étaient en rien responsable de ma douleur et de mon inquiétude . Mes parents me faisaient manger avant eux et je prenais le plus de temps possible pour grignoter quelques minutes de plus à rester autours de la table avec les adultes . Mais je ne pouvais abuser du temps où alors papa osait la voix et c’est sans le dessert et donc plus tôt que je devais monter me coucher . Ce soir là je pus prendre le dessert que je mangeas sans déguster tellement le stress me prenait . Et voilà le moment venu où je dus me coucher , seul et dépité . D’un pas lourd , je montas les escaliers qui me paressèrent étroit comme mon ventre qui se tortillait de douleur . Me voilà sous la couette , qui était pour le moins froide et une chambre sombre , tout l’inverse des bisous chaud de maman qui illuminent mes rêves . J’étais recroquevillé sur moi-même , chaque bruits , jusqu’aux plus anodins me donnaient peur sachant que j’étais seul au premier étage de la maison et je ne pouvais dormir tant que mes parents n’étaient pas monté se coucher . C’est seulement après le départ des invités qu’ils montèrent et que ma paranoïa cessa , mais ce n’est pas sans chagrin que je m’endormis sans la tendresse de maman .