Sujet d’invention :

Apres une petite escapade le long des champs Elisée, je me retrouvai à présent devant le grand théâtre de Paris. Ce vaste édifice pouvant accueillir a ce jour plus d’un millier de spectateurs représenté pour moi et pour tous ces grand passionnés de comédie et de tragédie, le summum même du plaisir qu’il nous procure lorsque l’on franchit ses portes.
Je me hâtais de rejoindre la salle de spectacle, mon billet a la main et je m’assoyais avec empressement au fauteuil numéro cinquante-huit, à quelques mètres a peine de la scène et des acteurs. C’est alors que pour la énième fois, je revivais ce moment formidable ou un vif plaisir s’emparer de moi lorsque je contemplais le luxe étonnant qui garnissait la salle de spectacle. Le gigantesque rideau rouge se dressait devant moi et renfermé derrière lui tout les secrets de la pièce que j’allais bientôt découvrir. La salle était dominée par un large lustre resplendissant dont les assortiments en cristal étaient comme illuminés par les tapisseries rouge feu qui colorés une grande partis de la salle.
Ce premier étonnement fut de courte durée car a peine avais je terminais de contempler la beauté des lieux que déjà les lumières en harmonie avec le chuchotement des autres spectateurs s’estompèrent peu a peu pour laisser place a un silence presque total dans la salle devenu sombre comme la nuit. La pièce allez commencer ! On frappa les trois coups ! J’étais très excité à l’idée de découvrir la pièce car étant un grand amateur de représentation théâtrale, je préférai découvrir la pièce, sans savoir vraiment a l’avance à quoi j’allais m’attendre. Cette fois ci, je ne savais point du tout a quelle pièce j’allais assister ni même a quel genre elle appartenait. Mais j’allais bientôt le savoir et ceci à quelques secondes de l’ouverture du rideau, ce qui me rendait encore plus ravit.
Je revoyais dans ma tête tout un ensemble de pièce tragique, comique ou encore dramatique que j’avais eu l’occasion d’admirer