« Monsieur le Président, mesdames et messieurs les jurés, je prierais de bien vouloir m'écouter un instant pour éclairer la vérité tout en dénonçant la manipulation effectuée ici présent par le procureur. Mr Meursault, un être humain, comme vous et moi et vous, jurés, possession de condamner ou innocenter cet homme ayant commis un homicide de légitime défense. Tout d'abord, cet homme, Mr Meursault, a tiré et tué cet arabe, mais devrait t-il mourir ? Non, car il n'avait aucune intention de le tué. Moi aussi, je me suis penché sur cette âme, mais, contrairement à l'éminent représentant du ministère public j'ai trouvé quelque chose et je puis dire que j'y ai lu à livre ouvert. C'était une après-midi d'une chaleur étouffante, le soleil chauffer la plage et éblouissait en point d'aveugler les yeux. Son ami ,Raymond, ayant eu un petit réprimant avec un arabe, mon client, Mr Meursault, a pris l'arme de Raymond, pour empêcher qu'il ne s'en serve. Il n'avait aucune intention de utiliser cette arme, petit mais meurtrière. L'arabe à sorti un couteau de sa poche. Le soleil reflétant sur la lame, elle eu une impression de glaive éclatante, puis plus il avançait vers l'arabe, plus cette lame devenait une épée. Il pointa son arme sur l'arabe, puis tira. Quelle réaction serait plus rationnelle que de sortir son arme pour pouvoir se défendre en cas d’attaque ? Aucune, c'est pourquoi, messieurs, mesdames, cela la poussé à accomplir cet acte honteux. Mon client n'a jamais voulu le tué. Il voulait tout simplement ce défendre, lui ainsi que son ami. Ensuite, d'après Mr Monsieur le procureur, Meursault est « un être sans cœur, qui est totalement indifférent à la mort de sa mère et au fait qu’il ait tué », je ne suis pas d'accord. Vous, messieurs les jurés, dans certaines circonstances n'avez vous pas une fois voulu montrer aussi vos sentiments? Certaines personnes ne dissimulent pas leurs sentiments au grand public, cela ne le qualifie pas d'être « sans cœur ». Mon client, a un