inégalités et stratification sociale
Deux évolutions majeures ont marqué les sociétés modernes depuis plusieurs siècles : - L’individualisation, la recherche de l’épanouissement personnel, de la dignité de la personne, à laquelle vont être attaché toute une série de droits nouveaux. On recherche le Bonheur. Si l’on est heureux, on fera notre travail de meilleure façon : + productif. On peut être heureux en pensant aux autres : schéma
- La démocratisation de la société, la naissance du citoyen, l’émergence de valeurs nouvelles : l’égalité et la liberté (voir fiche Tocqueville). Ces deux tendances rejettent les hiérarchies sociales traditionnelles, ordres, castes, et prônent des sociétés plus égalitaires, plus méritocratiques. On parle de la seconde modernité.
Niveau de vie = unité de consommation = 1ère adulte : 1 2ème adulte : 0,5 Enfant > 14 ans : 0,5 Enfant < 14 ans : 0,3 Aux EUA, depuis les années 80, toutes la richesse américaine s’est accaparée par 1% de la population. Cependant, les ménages, dont le pouvoir d’achat à tendance à diminuer, veulent tout de même consommer. Ils s’endettent donc avec des prêts. Cette situation débouche sur les surprimes.
Toutes les différences sont-elles des inégalités ? Dans toutes les sociétés existent des différences entre les individus, ces différences deviennent des inégalités lorsqu’elles sont traduites en termes d’avantages ou de désavantages. Mais les inégalités individuelles ne deviennent inégalités sociales que s’il existe des ressources socialement valorisées, caractérisées par leur rareté et inégalement réparties entre individus. Inégalités chez Marx : Les outils de la mesure des inégalités
Les inégalités et la pauvreté relative se sont réduites et on a assisté à une moyennisation