Isabelle stengers la volonté de faire science

1933 mots 8 pages
La Volonté de faire science, ISABELLE STENGERS

Définition de la science ?
Ne veut pas juger les thèses de Freud au nom de ce qu’on sait aujourd’hui, mais parle au nom de l’exigence qui parcourt le texte de Freud : celle de fonder une science.
Exigence ne renvoie pas à un « scientisme » mais à une « scène analytique ».

I. Qu’est ce qu’une science ?
A. Mène les humains à travailler ensembles. (≠ artistes, philosophes, techniciens) sauf exception des mathématiciens. L’histoire des sciences se distingue de l’histoire des idées car elle dépend essentiellement des jugements de ceux qu’elle étudie.
 Le fait que les scientifiques travaillent ensemble à souvent été déduit en conséquence, du fait que la science dégagerait des énoncés objectifs par état, mettant donc tout le monde d’accord.
Mais comment répondre à la Q : « cet énoncé est-il scientifique ? » ce serait l’analyse épistémologique qui devrait dégager une définition formelle qui fait qu’une science est une science. Et les scientifiques devront simplement s’assurer que chacun c’est bien soumis à la discipline commune.
MAIS ces critères de définitions sont justement un point de discorde entre les différents scientifiques.
 Il est vain de chercher une définition générale, non contextuelle, de la différence entre science et non science.

 MAIS si on essaye de formaliser ce qui permet de reconnaître la ≠ entre science et non science, introduction de la parapsychologie = qui concerne les phénomènes psychologiques non encore connus scientifiquement (télépathie…) Scientifiques ont décidés que parapsychologie (= métapsychique) ≠ science. Mais attention, parce que exemple des forces newtoniennes qui furent considérées comme non scientifiques par ses collègues occidentaux.
 innovation scientifique = modification de la lecture de la tradition d’une science. Apparition d’innovations scientifiques, qui ne sont au départ pas considérées comme science, et qui paraissent a posteriori décrites comme

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