Jacqueline harpman

671 mots 3 pages
Jacqueline Harpman est née le 5 juillet 1929 à Etterbeek (Bruxelles) de Jeanne Honorez et Andries Harpman1 . En avril 1940, sa famille quitte Bruxelles pour aller au Maroc, dans la ville de Casablanca1. En y allant, elle passe par Paris où elle écrit son premier roman qui sera long d’une demi-page. Elle vivra à Casablanca pendant cinq ans. Une partie de sa famille est déportée en Allemagne lors de la Seconde Guerre mondiale. Une partie de sa famille qu’elle ne reverra jamais1.
Jacqueline est admise au collège de Casablanca où elle étudie les langues modernes dont l’anglais et l’arabe. Fascinée par son professeur de français, Mademoiselle Barthes, elle se passionne pour la grammaire, la syntaxe et les classiques de la littérature. Elle envisage déjà de devenir tragédienne.
En 1945, elle finit ses humanités à Bruxelles, au lycée de Forest . Ensuite, elle entreprend des études de médecine1 à l’ULB (Université libre de Bruxelles). Cinq ans plus tard, elle est atteinte de la tuberculose. Elle passe 21 mois sous pneumothorax au sanatorium universitaire d’Eupen. Elle commence à écrire son premier roman : Les Jeux dangereux . Mais celui-ci ne sera jamais publié. Deux ans après, elle recommence ses études de médecine. Elle réussit l’ensemble de ses examens et passe en premier doctorat. La même année son père décède.
En 1953, elle est à nouveau malade. Atteinte d’une appendicite, elle rate ses examens. Elle se marie avec le cinéaste Emile Degelin.
Elle rencontre ensuite l’éditeur René Juillard et elle publie ensuite son premier texte L’amour et l’acacia et son roman L’apparition des esprits. En 1959, elle reçoit le prix Rossel pour son roman Brève Acardie. Elle écrit énormément pour le cinéma mais aussi pour elle-même. Elle fait aussi des émissions radiophoniques et des critiques théâtrales2. En 1963, elle se marie avec Pierre Puttemans2 qui est architecte et poète. Elle met au monde sa première fille qu’elle appelle Marianne.
En 1965, elle écrit son troisième roman Les

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