jamba
Avant de rencontrer Intel, l’androgyne qui a changé sa vie, Johnny était un homme professionnel qui pouvait parfois s’avérer méchant. Il se tenait loin de ses clients et il ne voulait pas être associé avec eux, dont on peut s’apercevoir quand il cri > (p.109). On voit que Johnny ne met presque aucun effort dans ses concepts et se donne un maximum de deux jours pour en trouver un. De plus, dès qu’il a aborde le mystérieux client Intel, son attitude a tout de suite changé. Il est alors devenu obsédé à le satisfaire et quand ses idées ne lui plaisait pas, il continuait à chercher, sachant qu’Intel n’est pas le genre de client régulier. Avec le temps mis sur Intel, plusieurs choses vont de pire en pire. Sa secrétaire ne lui offrait plus un horaire fixe, et son seul client rentrait quand il décidait (p.160). La perte de son professionnalisme l’a rendu fou. Sa secrétaire avait décidé de le quitter, alors qu’il ne rencontrait plus de nouveaux clients, seulement car il voulait satisfaire les demandes d’Intel.
Pour Johnny, sa vie sociale se résume à ses clients et sa secrétaire, dû à son manque de sentiments. Avec le temps, Johnny développe un sentiment de culpabilité pour ses clients, qui se transforme en indigestion ou en sentiment de malaise. Par exemple, quand Johnny se sent mal d’avoir demandé à sa secrétaire Sonia pour un verre, il lui explique « qu’il est désolé, et qu’il a mal au ventre tout à coup >> (p.120), car admettre comment il se sent ne lui arrive pas souvent. Tout de même avec ses clients, il