Japon
Le 11 mars dernier, un séisme d’une magnitude de 8,9 sur l’échelle de Ritcher a frappé le nord-est du Japon. Les autorités japonaises ont alors lancé un alerte tsunami. Quelques heures après, un second séisme ébranle le Japon, a 15h20 précisément. Les vagues atteignent à ce moment des hauteurs de 4 mètres de haut et une vague de 10 mètres atteint la ville de Sendai sur les côtes japonaise. Le premier ministre, Naoto Kan, a déclaré qu’il n’y avait pas de fuite radioactive dans les centrales nucléaires. Par contre 11 réacteurs nucléaires japonais se sont arrêtés et il y a eu un début d'incendie dans la centrale nucléaire d'Onagawa. Les autorités se sont empressées de faire évacuer les quelques 6000 habitants qui habitaient dans un rayon de 3 km de la centrale Fukushima. Malgré l’affirmation du premier ministre, on annonce qu’une fuite nucléaire dans la centrale pourrait être possible. On enregistre un niveau de radioactivité mille fois supérieur à la moyenne dans la centrale et les gens doivent évacuer dans un périmètre de 10 km. Le 12 mars, une explosion a lieu dans la centrale de Fukushima. Naoto Kan déclare que c’est une des plus grandes crises au Japon depuis plus de 65 ans. L'accident nucléaire de Fukushima est de niveau 6 sur une échelle de 7. Mardi le 15 mars, un fort séisme se fait sentir à Tokyo. Le bilan des pertes humaines est castatrophique. Plus de 20 000 personnes ont disparus ou perdus la vie lors de la castatrophe et le coût des bris matériel, qui n’a pas encore été évalué, sera certainement colossal. Bien que la catastrophe soit fini, le Japon