Je sais pas
2) La violence envers les gays et lesbiennes découlent –elle d’un manque d’ouverture et pourquoi ?
Introduction :
L’homosexualité n’est pas une alternative à l’hétérosexualité, on ne choisis pas d’être lesbienne et gay, bisexuelle, c’est une attirance vers une personne du même sexe, des sentiments comme tout les personnes.
On peut tomber amoureux d’une autre fille ou d’un homme quelque soit son sexe, son âge, ce sont des pulsions suivis de sentiments et non une mode ou une maladie transmissible.
a) La famille menacée par l'homosexualité par le Vatican
« La famille est la première cellule de notre société.
Sans la famille la société n'existe pas et l'État non plus.
Mais la famille va mal parce qu'un enfant a besoin du papa et de la maman pour grandir en harmonie.
Or les familles vivent séparées, sont recomposées. Les enfants sont écartelés entre un père et une mère qui ne s'aiment plus, se détestent ou s'ignorent.
Familles sans repères.
Familles sans père.
Avec le PACS nous avons vu le retour en force de l'homosexualité, érigée en modèle de société.
Ce qui n'a pas de sens... Car même si c'est à la mode, l'homosexualité ne saurait être considérée comme un état normal de la nature humaine.
Je ne juge aucunement les personnes, Dieu seul connaît le cœur de l'homme, mais je ne peux objectivement accepter des situations comme l'homosexualité. L'enfant est dès lors livré à ce genre de modèle... »
Mgr Jean-Pierre Cattenoz, évêque d'Avignon, dans une entrevue publiée dans France Catholique du 25 octobre 2002
Ceci et un message de l’évêque d’Avignon Mon Seigneur Jean-Pierre Cattenoz sur l’homosexualité. De son point de vue être lesbienne ou gay et une comme un état anormal de la nature humaine, alors je pose la question la nature humaine n’est telle pas complexe une femme doit-elle être avec un homme et un homme avec une femme pour