je twitte donc je suis

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Plus d’un septième de la population sur les réseaux sociaux, c’est un constat, ils attirent toujours plus de monde. Ils prennent la relève des blogs, mais comment arrivent-ils à nous entrainer un par un dans leur spirale positve pour certains, négative pour d’autres. La question vient donc d’elle-même, peut-on encore prouver que l’on existe sans passer par les réseaux sociaux? La référence à la citation de Descartes “Je pense donc je suis” n’est pas anodine, tout le monde pense nécessairement, faudrait-il maintenant exposer ses idées et resssentiments sur le net? Nous commencerons par défendre twitter, facebook et companies en rappelant leurs attraits ensuite nous continuerons par se rappeler de se que l’on faisait avant eux et leurs appports réels pour exister aux yeux des gens.

Premièrement, certaines personnes ne peuvent se passer de la toile pour se montrer à un public le plus large possible. Des personnes ont réussi à créer leur personnage uniquement par là, je pense aux vidéos réalisées par de jeunes humouristes tels que Norman, Cyprien,... Ils ne s’affichent jemais en salle mais par de petits sketchs postés ensuite sur leur pages facebook et sur leur compte youtube. Ils partagent leur scénette tout les mois et arrivent à atteindre facilement dix millions de vues sur youtube. Internet, on peut dire est devenu leur lieux de travail. Deuxièmement, Twitter comme les autres réseaux sont un prolongement de notre vie. Effectivement, ils nous permettent de rester connectés avec ses amis et le monde entier sans être présent en chair et en os. Ils permettent d’organiser des évènements, de partager photos, vidéos, messages, de poursuivre des conversations après avoir vus des gens. Mais qu’en est il de ceux qui ne sont pas connectés, ils perdent un flux considérable d’information. Des infos qui peuvent être importante pour pouvoir être dans le “coup” les jours suivants. Simon 12 ans n’est pas

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