Je l'aimais - anna gavalda
« JE L’AIMAIS » - ANNA GAVALDA. Autobiographie d’Anna Gavalda :
Anna Gavalda est née le 9 décembre 1970 à Boulogne-Billancourt. Elle obtiendra une maîtrise de lettres modernes à la Sorbonne. Puis elle tente mille petits boulots : fille au pair aux Etats-Unis, professeur de français dans une école privée, traductrice des romans Harlequin, rédactrice à la pige pour le magazine de Carrefour... Lisant beaucoup et aimant écrire, l'aventure commence réellement en 1992, année où elle devient lauréate France Inter pour La Plus Belle Lettre d'amour. Malgré de nombreux refus autour d’elle, seul Le Dilettante lui offre sa chance.
Grand Prix RTL-Lire en 2000, son premier recueil de nouvelles Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part a été, depuis, douze fois réimprimé, vendu en France à plus de 200 000 exemplaires et traduit dans 27 pays. Puis vient, en 2002, son premier roman, Je l'aimais. Ensuite, en mars 2004, c'est la consécration pour la jeune femme : Ensemble, c'est tout.
Aujourd'hui, Anna Gavalda peut s'offrir le luxe de rejeter les propositions mirobolantes de grands éditeurs. Elle leur préfère un artisan, Le Dilettante, dont elle a aussi refusé les à-valoir. Et si elle y reste, c'est parce qu'elle pense «que les beaux textes valent mieux que les beaux chèques».
Synthèse :
Je l’aimais est un roman triste mais vrai, paru en 2002. Il raconte les confessions d’un homme. Une histoire d’amour douloureuse relatée avec juste ce qu’il faut : les mots, la poésie et la tendresse de cette histoire vécue à moitié … C’est très beau et très émouvant. Sensibilité et sublimité sont les mots premiers.
Parce que sa belle-fille vient de se faire quitter et est malheureuse, Pierre Dipel, soixante-cinq ans, décide de l’emmener; elle est ses deux filles à la campagne. Un soir, Chloé éclate, s’indigne et s’énerve contre son beau-père : « Je l’ai laissé partir sans crier, j’ai refermé la porte tout doucement parce qu’il ne faut pas claquer les portes et