Jean baptiste chassignet
I l’ « ondante rivière »
1 Ce poème met en évidence que l’eau est toujours en mouvement : champs lexicaux de l’eau et du mouvement : « rivière » « flot » « humide » « fleuve » « eau » « ondante » « couler » « fluer »
Le mot carrière à plusieurs sens venant du mot « carrus » (latin) qui donne char : la trajectoire professionnelle des chevaux aujourd’hui : évolution professionnelle Trajectoire d’un fleuve < sens de ce poème
2 l’idée est de prouver que le mouvement est continu et éternelle : « perpétuelle cours » (v2) répétition de « flots » (v3), répétition du mot « mille » qui est exagéré, hyperbolique. Par ailleurs « roulant » qui s’associe à « tours » pour former une idée de circularité. Il y a des rimes embrassés qui rappelle une idée de circularité
Vers 3 : on a un parallélisme de construction qui introduits un rythme binaire.
Répétition de « fl » « l » consonne, liquide, il rappelle le bruit de l’eau. Les allitérations ont souvent pour objectif de mimer un bruit. Ici l’eau qui coule. Anadiplose (v6/7) « tous les jours » ca mime le mouvement répétitif de l’eau. Les verbes « passe » et « change » montre me mouvement (strophe2)
« jour » « toujours » rimes signifiante qui illustre l’idée de la réalité
Transition : L’eau t coule est le thème central du poème. Le poète présente une particularité de l’eau : elle parait toujours la même mais ne l’es pas puisque elle ne s’arrête jamais de couler. Le poète compare ce phénomène à l’homme dans les deux tercets.
II- une relation sur la condition humaine.
A- le poème rassemble à une démonstration logique Première strophe : l’eau semble éternelle, un constat de départ Deuxième strophe : apporte une nuance avec « mais », elle