Jean Giraudoux
Né en 1882, mort en 1944, Jean Giraudoux fait une carrière de diplomate, et d’écrivain. Il se nomme réellement Hyppolite Jean. Sa famille provient du Limousin. Son père déménageant souvent, il évoquera sa vie mouvementée, et le dira dans une œuvre. Etant un très bon élève, il reçoit de nombreux prix, et est reçu à l’école normale supérieure, en 1902. Il est passionné de littérature, et se penche vers la diplomatie, plutôt que vers l’enseignement. Il obtient une licence de lettre en 1904, et étudie à Munich.
Il se marrie en 1921, et aura un fils, prénommé Jean-Pierre.
Actif pendant la Première Guerre mondiale, il est blessé deux fois dans la bataille de la Marne, en tant que sergent. Il reçoit une légion d’honneur, et une croix de guerre.
Il devient instructeur de guerre au Portugal.
C’est entre les deux guerres que ses œuvres vont s’épanouir. Il devient également secrétaire général du Quai d’Orsay, rattaché au ministère des affaires étrangères. Il va publier une œuvre par an de 1919 jusqu’à 1927, telle que : Suzanne et le pacifique, Juliette au pays des Hommes, Eglantine.
Il va rencontrer Louis Jouvet, un metteur en scène, dramaturge, qui va l’inciter à écrire du théâtre, en même temps que sa carrière politique.
En 1939, il devient commissaire général de l’information, et fais de la radio. Le 16 Juin 1940, il démissionne, et va résider chez sa mère, à Paris, alors que son fils part à la guerre.
Il va adapter un roman de Balzac.
Electre : 1937
Amphitryon : 1938
La Guerre de Troie n’aura pas lieu : 1935