Jean zay
Né en 1904, à Orléans de la France centrale, il était d’origine juive. Son père était un journaliste actif et radical et sa mère enseignante. Il s’est intéressé au journalisme mais l’instruction et les arts ont constitué son grand amour pendant toute sa vie. En terminant ses études comme avocat, il s’est marié à Orléans, en 1932. 1
Sa carrière s’est mise très tôt, quand il s’est occupé de la politique. En 1932, il est élu comme le plus jeune député. Il s’est intégré à la gauche. Il entretenait une grande amitié avec Pierre Cot et Pierre Mendès-France.2 Il s’est élevé, en utilisant son intelligence et ses capacités. Il a impressionné le monde politique grâce à sa perspicacité et ses visions et enfin, il a gagné le respect de ses contemporains.
Entre 1936-1937, où les parties gauches sont dominées en France (Front Populaire), il a exercé comme ministre de l’éducation et des beaux arts. Il a lancé des idées innovées. Ses efforts, qui visaient à la modernisation de l’école publique française, sont caractérisés comme remarquables. Quelques éléments de sa politique sont maintenus jusqu’aujourd’hui. Il a établi l’éducation obligatoire jusqu’à 14 ans. Il a aussi limité, à 35, le nombre des élèves par classe. Il est associé du ministre de l’athlétisme et il a défini comme obligatoire le cours de la gymnastique.3 Jean Zay commentait : « J’essaie à satisfaire le besoin des élèves en ce qui concerne la diminution de quantité d’apprentissage et l’augmentation de sa qualité. »
De plus, Zay, sauf le domaine étroitement éducatif, comme un amant de l’innovation et de l’évolution culturelle, il a innové aussi au domaine culturel et artistique. Ses nouveautés sont maintenues jusqu’à notre époque.
Dans le domaine artistique, il a réuni les théâtres nationaux français