Jeu et realite psyhologie
Chapitre 1 : Objets transitionnels et phénomène transitionnels
Hypothèse originelle :
Winnicott traite dans cette première partie toutes les idées théoriques émises à partir d’observation des nourrissons et de leur utilisation d’espaces transitionnels permettant de combler la frustration ou l’angoisse.
Il définit également les termes d’ « objet transitionnels » et de « phénomènes transitionnels » pour désigner l’aire intermédiaire d’expérience qui se situe entre le pouce et l’ours en peluche, entre l’érotisme oral et la véritable relation d’objet.
Il définit l’Objet transitionnel comme étant la première possession « non-moi ».
Première qualités « ressurgissent » de la relation avec cet « objet transitionnel » :
« Pouvoir » sur l’objet + possession
Objet choyé mais aimé avec excitation/mutilation
Objet ne doit jamais changer sauf demande de l’enfant
Survivre à l’amour instinctuel/agressivité pure
Objet : désinvestissement progressif
= Théorie analytique sur le développement de la petite enfance pour expliquer au mieux le sens de cet objet transitionnel et sa représentation aux yeux de l’enfant.
Selon Winnicott, l’objet transitionnel permet à l’enfant d’établir une distinction nette entre le fantasme et le fait réel, entre les objets internes et externe, entre la créativité primaire et la perception.
Cet objet transitionnel rend possible le processus qui conduit l’enfant à accepter la différence et la similarité.
Comparaison du concept de l’objet transitionnel avec le concept de l’objet interne de Mélanie Klein : savoir si l’objet transitionnel est interne ou externe au nourisson.
Car : pas un objet interne : concept mental = possession MAIS ce n’est pas non plus un objet externe.
+ richesse du champs d’observation = des premières expérience du petit enfant avec relation à la première possession :
Frustration etc
Il finit pr l’ »aire intermediaire » = aire allouée à l’enfant