Jiutgjhfyt

479 mots 2 pages
I. thèse de Berkeley
1710 : parution des « principes de la connaissance humaine »
1734 : « essai sur la théorie nouvelle de la vision »
Entre 1710 et 1734, dialogue entre hylas (hylè : matière) et philonous
(intellectualisme).Ce dialogue renouvelle la méthode des essais (le forme du dialogue sera repris par Hume).Pour faire la différence entre la sensation et la perception, Berkeley posera un certain nombre de concept. On exposera essentiellement les arguments des « principes de la connaissance de la connaissance ».
Première thèse de Berkeley : « j’appelle esprit, intelligence, âme ou moi, cet être actif percevant ». Quelque chose n’existe pour moi que parce que je le perçois. Cela ne veut pas dire que les choses n’existent pas dans le monde. L’immatérialisme de Berkeley n’est pas un scepticisme ; Berkeley ne doute pas de l’existence du monde extérieur. Ce qui l’intéresse c’est la manière dont le monde extérieur nous est connu. Les diverses sensations ou idées imprimées sur les sens ne peuvent pas exister autrement que dans un esprit qui les perçoit.
« Je la vois, je la sens… cette table existe ». Il y a une permanence. Mais leur être c’est d’être perçu : « esse est percipi ». il faut distinguer l’existence absolue ( existence indépendante de l’esprit humain) de la table, de son existence relative. L’être de la table c’est d’être perçu ; je me saisis de l’être de la table que quand je la perçois. Distinction entre l’être et l’existence. Le néant pour Sartre : lorsque l’existant n’est plus dans l’être perçu. Il y a une existence absolue
(indépendamment du fait quelles soient perçues ou non). L’existence relative : l’existence est liée à une connaissance par la perception.
Comment distinguer l’existence des choses sensibles avec le fait qu’elles soient perçues ?
L’objet et la sensation sont une seule et même chose. Mais « il met impossible de voir et sentir de quelque chose sans la sensation effective de cette chose » ; la perception que j’ai

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