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Vu vu et revu. Comme contre Arsenal ou la première mi-temps au Signal Iduna devant le mur jaune, l'OM a donné l'impression d'être en mesure de l'emporter face a ses adversaires, en vain.
L'OM n'avait ( presque ) plus rien à jouer ce soir. Le déplacement de ses 1150 supporters s'explique plus par la découverte d'un stade " bouillant" dit-on, que par l'enjeu de cette 4eme journée de ligue des champions. Dès les premières minutes, l'OM se montre rugueux dans les duels à l'image d'un Andre Ayew toujours aussi combattif et précieux. Une combativité récompensée lorsque le fils du Maestro, ce même André Ayew, ouvre la marque dès la 10eme minute. Un but qui nous rappelle fortement le coup de tête d'un certain " Basilou" un soir de mai 93. L'OM joue, et procède en contre, la tactique de Baup semble fonctionner. Mais comme trop souvent, L'OM concede énormément d'occasions et Naples finit par en profiter. Thauvin fait semblant d'aller au duel,Inler non. Le suisse égalise et San Paolo se réveille. Ce n'est pas suffisant pour les napolitains, un nul contre l'OM serait un échec pour les trois equipes de ce groupe. Higuain l'a bien compris et fusille Mandanda dans la foulée.
Après le repos, l'OM se montre dangereux. L'OM pousse, à l'image d'un Thauvin qui monte en puissance de semaine en semaine. Cependant, Naples reste dangereux et l'on craint un troisième but qui scellerait les espoirs marseillais. Et pourtant, le destin en décide autrement. Payet centre parfaitement pour Thauvin qui bouge Zuniga. Les phocéens égalisent, le parcage marseillais jubile. Les marseillais pensent enfin que la malchance les a quitté. Et pourtant, Marseille retrouve ces vieux démons. Higuain conclut une action litigieuse puisque Hamsik fait (involontairement) action de jeu. L'OM n'y arrive pas mais a bonifié son nul ramené du stade de la route de Lorient, samedi. L'OM retrouvera t-il ses ressources mentales qui ont fait sa force l'année dernière pour retrouver la victoire contre