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1 Le laboratoire sur puce : de la simulation à la fabrication 1.1 Etape de réflexion : la simulation 1.2 La fabrication : un long et laborieux processus
2. Le cancer, grand secteur de recherche 2.1 Qu’est-ce qu’une métastase cancéreuse 2.2 « Ephesia », un laboratoire sur puce aboutie
Conclusion
Introduction : Mon groupe se compose de Canda Quentin, Lambert Louis et moi. Notre choix s’est porté sur les défis face au XXIème siècle et plus particulièrement aux nanotechnologies et aux nanosciences, nouveaux intérêts de ces décennies. Nous nous sommes intéressés au laboratoire sur puce : grand secteur de recherche. Cet aspect des nanosciences nous a plu car, grâce aux futures avancées de ce domaine scientifique, de nouvelles possibilités médicales se développeront, mais également car nous assistons à la miniaturisation constante des objets de notre quotidien : par exemple il y a 50 ans, un ordinateur faisait la taille d’une armoire alors qu’aujourd’hui on peut ranger un ordinateur portable dans une enveloppe (mac book air). Etant tous attirés par la médecine et à la suite d’après-midi passées à l’IEMN où nous avons appris ce qu’était un laboratoire sur puce, nous avons donc défini la problématique autour de ces sujets : « Qu’est-ce que peut-apporter le laboratoire sur puce à l’analyse du cancer ? ». Notre première partie explique les étapes d’élaboration d’un laboratoire sur puce, de la simulation sur ordinateur à la fabrication. Elle traitera entre autre de l’explication de la simulation que nous avons faite à l’IEMN et comment cette puce a été fabriqué, pourquoi certains matériaux sont utilisés dans le développement de laboratoire sur puce et quels sont les moyens et les techniques mises en place pour construire ces puces. Notre deuxième partie expliquera premièrement la métastase cancéreuse et le besoin de pouvoir la détecter plus rapidement et enfin le fonctionnement de ce laboratoire sur puce pour l’analyse du cancer.
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