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Titre :oradour
Année de conception : 1947
Auteur : jean Tardieu
Genre : poème
Analyse
Le poème Oradour de Jean Tardieu raconte l’extermination des hommes femmes est enfants du village de Oradour sur glane
Dans ce poème le mot « oradour » est souvent utilisé .Je pense que l’auteur a fait cela pour essayer de marquer le souvenir de oradour dans la mémoire des gens .Il énumère également tous ce qu’ Oradour a perdu .Il dit plus de 20 fois .A la 1 e ligne de la dernière strophe il compare par la métaphore Oradour a un cri « Au cris de désespoir et l’appel au secoure des habitants qui se faisaient massacrer « Oradour n’est plus qu’un cri » Il répète également le mot « yeux »( deux yeux large … )plusieurs fois. On retrouve le champ lexical de la violence : blessures », « sang, « ruines », « crie », « hurle », « éclate », « coups « des assassins », « la folie ». Il veut que l’on puisse imaginer le regard des gens qui étaient sur le point d’être exécutés .Ce poème n’est pas régulier et n’a pas de rimes ce qui pourrait dire que ce genre de chose n’est pas prévisible et que ces massacre ce déroules n’importe quand et n’ importe où.
Ce poème reflète pour moi toute l’horreur de la guerre .On voit dans leurs yeux la terreur et on entend leurs cris d’horreur ce qui nous horrifie.
Le poème est structuré autour de l’anaphore « Oradour ». - On remarque la présence régulière de la négation et de l’adverbe « plus ». - L’anaphore (reprise de mots en début de phrases successives pour créer un effet de renforcement), le rythme, les énumérations créent un rythme de litanie (prière dite au cours de l’office, certaines formules étant répétées par l’assistance) et contribuent à évoquer le désastre d’une ampleur sans pareille : un village rayé de la carte. - Le rythme lancinant et les sonorités contribuent à traduire le désastre qui s’est abattu sur la ville ainsi que le cri de honte, de haine et de douleur lancé par le poète, à la mesure du