Kamouraska

1129 mots 5 pages
Comme on peut l’observer dans notre société plusieurs personnes ne savent pas comment réagir face à d’importance situations de crise d’angoisse ou encore même de dépression. Par exemple comme dans le cas d’Élisabeth d’Alunière et le genre de femme qui se refoule constamment dans son passe et pense toujours au mal directement ou indirectement. C’est pour cela que nous allons nous attarder sur le sujet peut-on vouloir le mal. Dans le but de bien de décortiquer le sujet je vais m’attarder sur deux aspects. Pour amorcer le mal, puis nous analyserons les raisons justifiables d’avoir le désir de l’invoquer.
À première vue, le mal et un large mot qui ramène à plusieurs branches comme le mal métaphysique, le mal moral et enfin le mal physique. Comme on peut le mentionner dans le livre d’Anne Hébert elle parle d’une femme qui n’arrête pas de se refouler et de se faire du mal moralement. Cette femme qui est refoulée a l’intérieur d’elle. Cette dernière parle consciemment toujours de son passe pour se sentir bien mais comme vous pouvez le voir dans le livre de l’auteur le personnage se fait du mal à elle-même. Plusieurs chercheurs ont prouvé que si on veut se sentir bien moralement il faut penser au passe qu’on a vécu c’est ce que Élisabeth d’Alunière exerce pendant le récit et les actions qui se passent dans le livre. Le personnage en tant que tel ne veut pas le mal mais pense souvent au passé et c’est ce qui lui fait mal car d’après Platon «C’est dire que celui qui fait le mal sans le savoir où le vouloir vraiment n’est pas véritablement mauvais. Car, le principe de ses actions n’est pas perverti». Comme on peut le voir selon certains moments du récit. Élisabeth d’Alunière se fait demander le sucre par son mari mais ne veut pas l’écouter et le laisse à lui-même ce n’est pas qu’elle veut lui faire du mal mais elle ne veut juste pas lui rendre service mais cependant son mari a mal alors elle fait le mal mais sans y penser. C’est pour cela aussi le philosophe Emmanuel Kant

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