Kierkegaard

461 mots 2 pages
Kierkegaard .

se marie avec une jeune fille de 16 ans, Régine. La met a l’épreuve de la séparation. Tente de la convaincre pendant 2 ans qu’elle ne l’aime pas. Dépasser la relation ordinaire, recherche d’intensité ordinaire. Il n’y a d’amour que malheureux. Dans la séparation. On trouve une réflexion sur le mariage, institution qui donne au plaisir immédiat un fondement social et moral. Le mariage est une liberté. Le sentiment, la passion amoureuse n’est pas libre. Echec pour Kierkegaard ? en un sens oui, mais en un autre cet amour est heureux puisqu’il est malheureux.

Les psychologues étudient Kierkegaard, sa vie et son œuvre, œuvre écrite contre tous les engagements a l’horizon de la vie. Ne s’est jamais lié lui-même par un engagement quelconque.

Ou bien.. ou bien 1843 (traduit parfois par l’alternative) dans lequel on trouve le journal du seducteur, craintes et tremblements, qui represente Abraham et Job, l’homme de la fidélité. Homme juste et prospère que dieu a exposé à la tentation . transporté au milieu du désert, et le diable va le tenter. Si tu me reconnais je te rendrais ce que dieu t’a fait perdre. Job refuse, reste dans sa misere plutôt que de blasphémer. Il pense que dieu reconnaitra sa fidelité. C’est le cas. Abraham a été sur le point d’accomplir la demande de Dieu.

Kierkegaard premier penseur de l’absurde. Existentialisme. Il n’y a jamais eu qu’un croyant au monde, Abraham. Absurde c’est ce qui met la parole en déroute. Kierkegaard voit le geste de la foi.

La répétition : problème de temps perdu et retrouvé. Met en avant la figure de Job, de la fidélité.

Chez Camus, le thème de l’absurde. Le mythe de Sisyphe, la peste.. l’absurde ne doit pas entrainer une haine de la vie . l’homme doit le prendre comme un don. Révolte qui n’en n’est pas une.

Réflexion sur Socrate et Jésus qui ont affronté la mort. Angoisse (angor, angine : resserrement, paralysie de la volonté) et peur. Angoisse selon Freud souvent liée au néant. L’angoisse

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