Kjtkjkjg
Ω* , du taux de participation r* et du NAIRU u* selon la relation :
(2) * * * * (1 * ) t t tt t N = h Ω r −u
Ainsi, la production potentielle de moyen terme Y* s’écrit :
(3) * 1 * gt t t t Y = K −α N α e
La croissance potentielle de long terme Y* LT se définit habituellement en supposant que le capital et l’output en volume croissent au même rythme et que les prix relatifs p(2), le taux de chômage et la durée du travail sont stabilisés. On observe sur les dernières décennies une déformation continue des prix relatifs et donc de la mesure de la productivité du capital en volume. Pour tenir compte de cette observation statistique, nous sommes ainsi amenés à effectuer une correction en fonction de l’évolution des prix relatifs. On obtient finalement :
(4) ( ) 4 ( )
1
log 1 1 log
1
*LT t t t Y pop p γ α α γ α
−
Δ =Δ + + Δ
−
où pop représente la population en âge de travailler.
116 CONSEIL D’ANALYSE ÉCONOMIQUE potentielle devient alors indéterminée. Dans ce complément, il est tenu compte tout d’abord des développements de moyen terme pour lesquels les contributeurs à la croissance potentielle sont les facteurs traditionnels de production (stock de capital, nombre d’emplois et heures travaillées par tête) et les déterminants de la PGF (intégrant l’écart de l’âge de l’appareil productif par rapport à sa moyenne de long terme). Dans un deuxième temps, l’analyse est portée sur le sentier de croissance de long terme sur lequel l’économie croît en ligne avec la population, le progrès technique exogène se reflétant dans la tendance déterministe de la PGF et la dérive des prix relatifs mesurés par le ratio entre le déflateur du PIB et celui de l’investissement.
Ces prix relatifs sont intégrés dans l’analyse afin de tenir compte d’une stabilité de la productivité moyenne du capital, en valeur plutôt qu’en volume. De plus, pour les considérations de long