La barbarie, une idee coloniale très subjective
Le film « Le Grand Blanc de Lambaréné » est très intéressante parce qu’il fait le portrait de l’interaction entre le colonisateur et le colonisé pendant l’occupation de l’Afrique par les Français. Les différents personnages dans le film montrent les différences entre les deux civilisations. Cependant, on y voit des situations paradoxales aussi. D’une cote les Européens trouvaient la civilisation Africaine comme inferieur, mais ils étaient étonnés par leur exotisme et beauté. Et, de l’autre cote les Africains croyaient que les Français étaient comme des magiciens (a cause de leurs croyances), mais, ces « dieu » ont profite de cette image pour oppresser le peuple Africaine. Tout ces questions de l’oppression, la supériorité et les traditions différents du monde Européenne et Africaine m’emmènent a questionner quelle civilisation, en réalité, agit comme une barbare et que signifie être réellement un barbare.
Je commence par analyser le personnage du Dr. Schweitzer, qui est par excellence l’image paternaliste de l’histoire. Le problème avec lui était le fait qu’il était prêt à donner mais pas a partager. Ça signifie qu’il pourrait livrer tout ses taches comme médecin et colonisateur seulement sous la condition de qu’il et sa culture peuvent rester comme supérieur a celle des Africains. Il s’agissait d’une situation d’aider les villageois seulement s’ils restaient comme des enfants ou des personnes ignorantes. Donc, on y trouve ici un exemple très clair de l’objectification de la personne humaine.
L’image ou le docteur est en train de jouer le piano et l’enfant Africaine est en train de jouer les tambours pour voir qui d’entre eux réussît a jouer plus fortement, nous montre la lutte qu’il existait entre les deux cultures. Comme j’ai mentionné déjà, la problématique exsitait quand un être humain ne reconnait pas vraiment que l’autre est même capable de penser et de réaliser les mêmes choses que lui. Pour le