La bruyere
Intro : Il s’agit d’un portrait satirique dans lequel une femme va consulter un oracle pour trouver des remèdes à ces maux.
La Bruyère choisi de placer son texte dans l’Antiquité car c’est dans la pratique du XVIIème siècle et aussi parce qu’il s’est inspiré de Théophraste.
L’oracle est une personne censée communiquer avec les dieux.
1/ Un portrait satirique.
La satire en général c’est : critiquer par le rire, beaucoup d’ironie.
Il y a une accumulation de maux. Un jeu de questions-réponses, les questions et les réponses occupent la majeure partie du récit. D’abord dans un discours indirect (« elle se plaint que ») il passe au discours direct. Il y a une progression en intensité et dans la rapidité dans l’enchainement des répliques. Irène pose une question juste après avoir eu une réponse, comme si elle s’en fichait. Les réponses de l’oracle sont en général très brèves, ces réponses ont une connotation de reproche. Portrait stéréotypé / coquette hypocondriaque
Irène pose énormément de questions à propos de son état de santé qui lui semble préoccupant et digne d’un remède magique ce qui prouve son hypocondrie. Elle est coquette parce qu’elle est très préoccupé par son apparence, s’inquiète beaucoup mais fini par enfin refuser les conseils de l’oracle qui étaient digne suivi.
Quelle morale La Bruyère veut-il délivrer à travers ce portrait satyrique d’une coquette hypocondriaque ?
2/ Une réflexion sur l’Homme
Réponses de l’oracle : ne sont pas des remèdes, mais des conseils faisant appel au bon sens. Réponses brèves Dernières réponses paraissent cruelles :
Escula est en fait le moraliste qui fait figure d’honnête