La chevelure

960 mots 4 pages
LAMOUREUX
Alexandre
2nd4

Compte rendu de la sortie au musée

I - Bordeaux, puissance économique et industrielle au XVIIIème siècle

La ville de Bordeaux au XVIIIème siècle possède une très mauvaise image car même si c'est une ville très vivante peuplée de près de 105 000 habitants elle n'en reste pas moins très sale, elle tourne le dos à son fleuve, son image ne correspond donc pas à sa puissance et son influence.
Cette puissance s'explique par son commerce maritime très actif et son port. Ce commerce enrichit fortement la ville et on construit de nouvelles habitations ainsi que de grands monuments tels que le Grand Théâtre ou encore la place de la Victoire, la place des Quinconces et, bien sûr, la destruction du Château des trompettes qui permet l'ouverture de la ville sur la Garonne. Par la suite, de nombreuses familles s'enrichirent en devenant négociants dans le commerce maritime. Ils sont, à cette époque, entre 2000 et 2200. Le port de Bordeaux a un positionnement très privilégié puisqu'il se trouve entre l'Amérique et l'Europe de l'Ouest, l'activité de ce port est tel que l'on dénombre près de 1600 bateaux partant annuellement du port , ce qui représente environ 5 bateaux par jour, ce qui est énorme.

II - Début de la traite négrière au XVIIIème siècle sous forme de commerce.

On peut définir la «traite négrière» comme une forme d'esclavage des noirs, une sorte de transaction, l'esclavage c'est la soumission injuste de l'homme par l'homme. On peut observer deux sortes de commerces : le commerce de droiture qui fait Europe/Amérique principalement un transport de nourriture ; le commerce triangulaire qui part de l'Europe pour se rendre en Afrique, puis en Amérique qui est un commerce principalement d'esclaves.
Les bateaux qui quittent le port de Bordeaux pour se rendre aux Antilles emportent avec eux des denrées alimentaires telles que : vins, des boeufs, jambon, cuisses d'oie,, ou pour la construction : ardoise, bois... En retour,

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