La chute de la monarchie en france
Lors de la fête de la Féderation, le 14 juillet 1790, la monarchie parlementaire semble être un succès et contenter aussi bien le peuple que le roi. Mais celui-ci, malgrés ses déclarations, ne se satisfait pas du pouvoir qu'il lui reste et nourrit un espoir de restauration de la toute puissance royale. Pour ce faire, il entretient une correspondance secrète avec l'empereur d'Autriche où il l'encourage à attaquer la France, qui se trouve alors dans une période d'instabilité militaire. Les lettres, découvertes par le peuple, provoquent un scandale et ressèrent un étau de suspicion autour de Louis XVI. Il tente de fuir vers l'est mais il est stoppé à Varennes et reconduit à Paris sous les huées de la foule. Il perd totalement la confiance du peuple mais pas celle celle de l'Asemblée, qui réunit des députés des trois ordres sociaux du pays. Le duc de Brunswick menace les Parisiens d'attaquer la capitale de massacrer ses habitants s'ils ne se soumettent pas à l'autorité royale. Le 10 aout 1792, des révolutionnaires menés par Danton envahissent le palais des Tuileries où réside Louis XVI et sa famille. Ils se réfugient à l'Asemblée, qui sous la pression du peuple, vote la suspension provisoire du roi et l'élection d'une nouvelle Asemblée, au suffrage universel masculin. Un nouveau régime se met en place : la République.
La monarchie absolu a été remplacée par la monarchie constitutionnelle, qui sera elle aussi un échec, bien qu'elle ait permi d'importantes réformes. Le 21 janvier 1793, Louis XVI sera exécuté et la monarchie fera place à la