La chute du rège napoléonien
La faute ultime de Napoleon est celle commise le 24 juin 1812, il attaque la Russie avec une troupe de 600 000 hommes. La raison est que la Russie a laissée entrer clandestinement de la marchandise anglaise, ce qui était pourtant interdit après un traité. L’Angleterre subit en plus une crise économique, donc vu qu’une grande partie de l’Europe n’accepte plus la marchandise Anglaise elle a des problèmes à s’en sortir.
Napoleon attaque donc la Russie en éspérant que la Russie prend peur et discute diplomatiquement et laisse tomber l’Angleterre. Or, la Russie d’Alexandre 1ier résiste et refuse le combat, ses troupes se retirent en détruisant tout dans leur passage qui pourrait être utile aux troupes de Napoleon. Les troupes napoléoniennes suivent les troupes russes, mais elle perd ses forces car la stratégie de napoléon n’est pas adaptée à un terrain sans route, immense et plus froid que d’habitude.
C’est le 7 septembre 1812 que les russes décident d’attaquer, c’est la “bataille de Moskova“ un carnage qui sert à rien. L’armée russe se retire vers moskou, et quand les soldats français y arrivent et ont une chance pour se reposer, ils retrouvent la ville en feux. Le coupable est probablement le gouverneur de la ville Rostpochine. Mais Alexandre 1ier se tait toujours, attendant l’hiver et les troupes de Napoleon se retirent vers la France. Les convois se font attaquer plusieurs fois pendant leur retraite, les soldats meurent de faim, de maladie ou par les attaques des cosaques. Les pertes sont si hautes que le nombre de soldats tombe de 600.000 à 90.000.
La suite se passe très vite: le 13 mars 1813, la Prusse s’allie à la Russie, suivie par l’Autriche en août et par la Suède, cette coalition est financée par l’Angleterre. L’armée perd sa force après des échecs contre les maréchaux Ney, Oudinot et McDonald et se retrouve avec 160.000 hommes devant 320.000 coalisés, il perd sa bataille laissant 60.000 hommes sur le champ de bataille