En 2020, le monde de la médecine a complètement été transformé. De ce fait, il n’y a plus aucuns problèmes médicaux. Les enfants naissent sans handicapes. Les maladies enfantines sont éradiquées. La thérapie des gènes est devenue une forme normale de soin. Les cœurs, les poumons et même les reins peuvent être facilement remplacés. Avec ses avancés technologiques, la médecine génétique peut considérablement le monde médical actuel. Mais un problème se pose. Du fait des précipitations des avancés médicales, de nombreuses limites éthiques ont été franchi. Les scientifiques se demandent si les codes de confidentialités ne devraient pas être assouplis, en raison des progrès de la médecine.
La préoccupation première en 2020 dans la médecine est celle du changement des codes de confidentialités des patients. La bonne question à se poser est : « Est-ce que la confidentialité du patient signifie que les informations concernant les résultats des tests génétiques du patient ne peuvent pas être partagés avec d’autre personnes qui ont les même gènes ? En effet, la recherche génétique affecte beaucoup de personnes qui partagent une même lignée, une même maladie héréditaire, ou un même lieu. Un résultat personnel peut avoir un impact sur l’avenir de beaucoup d’autres personnes.
En 1982, la Commission du Président des Etats-Unis a proposé l’idée que les résultats génétiques devront être partagés avec les membres de la famille du patient. Légalement, il s’agit d’une infraction aux codes de confidentialités des clients, mais éthiquement, il est obligatoire de divulgué des informations, si celles-ci peuvent sauver des vies.
La seconde chose qui inquiète les clients sur le fait d’assouplir les codes de confidentialités, est que les résultats des tests génétiques seront probablement utilisés contre eux pour des emplois et des primes d’assurances. Il est écrit dans un article de 2007 pour le Centre de Génétique et de la politique publique, que « une étude de 2004 de 470