La conscience
Depuis Descartes, homme défini comme être conscient. Distinction des autres êtres vivants.
Idée remise en cause avec les philosophes du soupçon => Marx, Nietzsche, Freud. Ils montrent que la conscience a des limites => Société, inconscient et influence biologique.
Conscience = du latin cum scientia. Sorte de lumière intérieure qui nous donne accès aux choses. Elle comporte des degrés. Elle varie.
Propre de l’Homme.
Concept qui apparaît chez Descartes au XVIIème. Il découvre que l’on peut douter de tout, car nos connaissances viennent avant tout de nos sens qui nous trompent. Seule chose certaine => Je continue à penser. « Cogito ergo sum ».
Opposition de la part de Descartes => Substance étendue, res extensa et Substance pensante, res cogitans. C'est-à-dire la pensée. Séparation de corps et de l’esprit. De la matière et de l’esprit.
Conscience en question.
NIETZSCHE : conscience = reflet du corps. Corps dont il parle n’est pas un ensemble d’organe ou de chair mais ce qui renferme nos instincts. Ce qui est notre essence n’est pas la pensée mais la volonté de puissance.
[Inspiré de Schopenhauer => vouloir vivre. Volonté absurde de l’homme de s’accrocher à la vie. 3 voies de salut = morale, art et ascétisme. ] Sauf que concept de Nietzsche positif, plus le pourvoir « de » que le pouvoir « sur ». Elle nous rend créatif.
L’âme elle fait partie du corps, elle est une partie de lui. Corps plus près de la vérité que la pensée/conscience. Affirmation de ses instincts sans mauvaise conscience.
De plus, pour lui nous ne voulons pas la vérité ni la conscience, seulement la puissance. L’homme a besoin d’illusions. Il faut être capable d’aimer sa vie au point d’être capable d’imaginer qu’elle se répète indéfiniment. (Éternel retour).
Il c fait également une violente critique de la morale religieuse issue du ressentiment et de la culpabilité. Elle est la négation de nos instincts fondamentaux. Nietzsche propose lui une morale basée sur la