La convergence chapite 1
Pour rappel : schéma fonctionnel de la tectonique des plaques d’après les connaissances de première S. Introduction : la convergence mise en évidence par les données GPS. Deux cas : la subduction et la collision.
Chapitre I. Convergence et subduction.
TP1 : Les marqueurs de la subduction.
Objectif méthodologique : Savoir utiliser un tableur comme Excel. Savoir utiliser un logiciel de simulation pour caractériser une zone de subduction. SISMOLOG ou TECTOGLOB. Objectif de notion : Caractériser la présence d’une zone de convergence grâce aux données GPS traitées à l’aide d’un tableur. Les différents marqueurs d'une zone de subduction : - Présentation du logiciel à partir de fiches d'aide - "Outil – globe 3D" : superposition des volcans, séismes qui permettent de définir des limites de plaque. - Sur le planisphère, faire ressortir volcans, séismes dont la magnitude est supérieure à trois. Repérer des marges actives (rappel de 1ère S sur la distinction marge passive étudiée en 1ère S et marge active). Comparaison de deux sites de subduction pour dégager les caractéristiques communes : relief positif, relief négatif, volcans, séismes dont la profondeur augmente dans une direction. Raisonnement sur ce dernier point en confrontant avec les notions de 1ère S sur la structure du globe (lithosphère solide rigide et cassante par rapport à une asthénosphère solide mais ductile) aboutissant à l'idée que la lithosphère océanique s'enfonce et que c'est celle-ci qui en cassant est à l'origine des séismes. I Subduction, caractéristiques et origine. Définition extraite du dictionnaire de géologie. Complétée par le dictionnaire de la tectonique des plaques et de la géodynamique. (Japon, p192; mer du Japon, p 193; marge active, p 226; subduction, p 354) Dans une marge active, le glacis continental est remplacé par une fosse marginale large de 80 à 100 km dont la profondeur atteint 10-11 km (zones les plus profondes de l'océan). Ce type