la critique sociale dans Quitte pour la peur de Vigny

2317 mots 10 pages
Critique sociale
Quitte pour la peur, Alfred de Vigny, 1833

1. Introduction

Bonjour à tous, aujourd’hui je vais me concentrer sur la critique que Vigny fait de la société, et la façon dont cela est illustré dans Quitte pour la peur. Je vais tout d’abord mettre en évidence 3 point critiqués.

A savoir la vision que la société a de la femme, la vision que la société a du mariage et finalement la vision que la société à de l’adultère. Trois points essentiels et mêmes porteurs de ce proverbe. Ils représentent le fil conducteur de la pièce.
Je me vous montrerai ensuite comment ce proverbe de Vigny est inscrit dans un cadre qui correspond au XVIIIème. Et comment ce dernier se sert de l’ironie pour porter sa critique sociale.

Pour commencer, il faut être conscient que le proverbe est une œuvre habituellement badine et frivole mais dans le cas de quitte pour la peur nous n’avons pas affaire à un jeu de devinette mais à une réelle remise en cause de mœurs et de conscience de la société.
(la violence psychologique et sociale sous entendue au proverbe de Vigny, la douleur, l’angoisse de la duchesse, qui pleure sur scène à plusieurs reprises, le ton grave et presque philosophique du duc et du docteur tronchin, devaient paraître étrange, déplacés, pour certains carrément incompréhensible. VP. Bien plus q’une simple comédie de moeur.
Vigny en effet tente d’éveiller les consciences et corriger les mœurs. Le but de Vigny est de faire prendre conscience à la société les conséquences de ses actes, des mœurs quelle prône et en mettant sous ses yeux les tourments dont elle est la cause. (faire réfléchir le public sur ses travers et ses comportements répréhensibles pour mieux les corriger VP)Très visible dans chatterton mais également dans quitte pour la peur où la duchesse est complètement terrifier prête a se tuer pour ne pas subir la colère du duc.

2. Une Critique de la société dans Quitte pour la peur : Les mœurs mis en cause.

2.1 La vision de la femme

Au XIXème

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