la croissance economique
Problématique
La réalisation d’une croissance de 4,5% en 2013 est l’objectif principal du gouvernement suite à la politique conjoncturelle de relance budgétaire de la demande : de consommation des ménages qui n’a pas combler le problème du chômage persistant de 9% ; qui touche les jeunes et les diplômés du supérieure ; alors comment on peut réaliser une croissance sans absorber le chômage? Est que les deux couples : croissance et chômage peuvent être logiquement au carré magique stimulé inversement?
Résumé de l’article
Face à un printemps arabe, le pouvoir public lutte contre les perturbations sociales ; mais le creusement des déficits jumeaux est un obstacle qui menace la croissance économique.
L’explosion des importations incompressible et celles des ménages entre 2010 et 2012 ; fasse à une hausse des prix de matières premières sur le marché international conjugué par la crise économique, un offre exportable de moins en moins compétitive car la peu diversification des produits, la faible VA et la rivalité grandissante…des facteurs endogène ainsi exogène risque de creuser le déficit courant avec la baisse des recettes des MRE et des recettes touristiques…7,5% en 2012 est le déficit commercial en creusement et la dette a connue une nette augmentation pour dépasser 59% en 2012 contre 48% en 2008.
Ainsi que le budget de l’ETAT souffre de la flambé de la compensation et la baisse de cette dernière de 3% selon les prévisions, ne peut pas réduire le déficit budgétaire ; on peut a joutés que les charges de compensations s’établit à 4,4% du PIB contre 3% en 2016.
CONCLUSION
A mon avis une stratégie d’ajustement de la structure économique du Maroc est urgente, la promotion des exportations selon mon opinion est un bon moyen pour réduire le déficit commercial, faire fasse aux importations incompressibles pour être compétitive et enfin généraliser la carte RAMED pour réduire les disparités sociales et les