La difficulté d'être majeur
DAEUA
PHILOSOPHIE : « La difficulté d’être majeur »
1/
Introduction :
Les hommes restent-ils mineurs après avoir été « affranchis d’une direction étrangère» alors que d’autres, les tuteurs, veulent continuer de les diriger ?
Développement :
Quand on est mineur, tout est fait pour ne pas avoir à réfléchir sur quoi que ce soit. Les autres comme les « médecins » ou les « directeurs » s’occupent de penser à notre place et règlent nos problèmes. Pas besoin de se soucier des difficultés de la vie pourvu qu’on paye.
Le danger de la minorité qui est déjà très désagréable de l’être est de faire ce pas en avant vers l’inconnu, chose que les tuteurs s’occupent de faire à notre place avec tellement de gentillesse.
Les tuteurs dirigent les hommes en les formatant, en prenant garde qu’ils ne fassent aucun écart, aucune sortie de leur « parc » sous peine de danger et de menace qui les attendent forcément dehors.
Conclusion :
Le danger n’est pas si important, il apprend à se débrouiller seul même si parfois on tombe. Cependant, la peur et la timidité empêcheraient de recommencer. Chaque personne se trouve confronter à la peur de sortir de son « cocon » et de la facilité d’être « mineur », néanmoins, n’est-elle pas devenue « nature » pour lui ?
2/
« Majeur » a pour notion dans le texte de peur, de danger et d’accablant. Ils laissent les tuteurs les diriger car ils sont incapables de sortir du « parc » ou ils sont «enfermés ».
Etre mineur est finalement très facile pour peu que l’on ne réfléchisse pas, qu’on ne pense pas car les autres s’occupent de nous, du « travail ennuyeux ». Mineur est définit dans le texte comme étant une sorte de marionnette, de pantin qui paye pour qu’on lui fasse tout.
Le tuteur dirige tous les hommes, ils les façonnent de manière spécifique à ce qu’ils n’osent pas affronter le monde seul. Ils sont « confinés » dans