La dissertation
Il était une fois un prince qui s’appelait Maliki, et qui habitait dans un village, dans une région persique (de la Perse : moins lourd, ou simplement mettre l’adjectif « perse » pour qualifier le village).
Ce prince était très beau mais il ne parlait guère et il était toujours très pâle. C'est à cause de cela qu'on l'avait surnommé le Simplet. Un jour que son père était très inquiet à son sujet, il lui demanda la raison pour laquelle il était si triste (bien ! te propose aussi : Un jour, son père très inquiet à son sujet lui demanda la raison de sa tristesse). Le prince lui répondit :
« Il y a de cela une année, sept mois et trois lunes, j’ai fait un songe. Dans un jardin magnifique où coulait une rivière, j’ai vu une belle princesse aux cheveux d’or, au teint frais. Elle était (est en raison des temps utilisés dans le reste de la phrase) si belle que je traverserais pour elle le monde entier pour la retrouver. Je n’aurai pas à nouveau plaisir de vivre que lorsque je l’aurai près de moi. (aurai…aurai ! propositions : je n’aurai à nouveau plaisir à vivre que lorsqu’elle sera près de moi / je n’aurai aucun plaisir à vivre tant qu’elle ne sera pas près de moi)
Son père lui répond: (répondit : attention concordance)
« Pars donc, mon fils, à travers le globe et le vaste monde, prends tout ce que tu voudras avec toi pour aller à sa recherche. Je te donne une bourse contenant assez d’argent pour faire le tour du monde et revenir avec ta bien-aimée. Pour cette expédition, je te met en service (mets à ton service) mon cheval rapide -qu'on surnommait Neige Noire, en raison de sa trouvaille par une journée de neige et sa couleur de peau qui était noire (nommé Neige Noire parce qu’on l’avait trouvé un jour de neige et que sa robe était noire)- mais prends bien garde de lui donner chaque jours à manger dix grains de maïs, ni moins ni plus, sinon il périra. Rends-toi à l’écurie où tu trouveras deux sacs remplis de maïs. Je te