La vie n’est pas toujours aussi rose que nous le croyons, à travers le monde et les époques plusieurs personnes sont victime d’injustice, non pas toujours par les lois, mais par la vie. Malheureusement, certains n’ont aucun contrôle sur ce phénomène, ils doivent faire avec ce qu’ils ont. Dans *La dot* et *Une partie de campagne*, deux nouvelles écrites par Guy de Maupassant vers la fin des années 1800, certains thèmes se retrouvent en commun malgré la différence des histoires. Dans les paragraphes qui suivent, on peut retrouver dans les ressemblances les thèmes; de l’amour, la moquerie et la tristesse. Dans les différences on peut retrouver comme thèmes; le rôle de la femme, la nature et la famille. Pour finir, nous verrons l’analogie.

Parmi les ressemblances que nous retrouvons dans les deux nouvelles, le thème de l’amour est très facile à repérer. Les jeunes femmes éprouvent des sentiments pour les hommes qu’elle rencontre dans leur vie. Dans *une partie de campagne*, celle victime des griffes de l’amour est la jeune fille Dufour. Elle rencontra un canotier du nom d’Henri qui l’apporta sur une petite ile ou les chants des rossignols lui fessait vivre des moments magiques.* Alors, affolée par un désir formidable, elle lui rendit son baiser en l'étreignant sur sa poitrine, et toute sa résistance tomba comme écrasée par un poids trop lourd.* Elle n’a pas pu résister à la tentation.* Dans *La dot* Mlle Jeanne Cordier vient tout juste de se marier et elle adore son mari, Maitre Lebrumen.* Et à son tour il n'avait pas assez de caresses, pas assez de lèvres, pas assez de mains, pas assez de toute sa personne pour fêter sa femme du matin au soir et du soir au matin.* Dans cette citation, la métonymie exprime l’amour que M. Lebrumen a pour sa femme, du moins pour l’instant. Une autre ressemblance que nous retrouvons parmi les nouvelles est la moquerie. Dans *Une partie de campagne*, le personnage ridiculiser est la grand-mère, * Ses formes, secouées, tremblotaient