La douleur duras
Douleur de tous
. locataires bouleversés : adverbe « longtemps »= paralysie, adverbe « partout », discrète assonance en « an » (sanglots,dans) souligne tristesse.
. concierge effondrée, mue par la violence . // avec narratrice . Verbe « arracher », pronom « tout », impossibilité de voir : enfermée ds sa loge, « pleurer » semble se prolonger par sa place en fin de § - contraste entre ce ki était espéré et ce ki est perçu (décorations)
Peut-être perce un sentiment confus de culpabilité pour ne pas avoir su mesurer ce vécu ?
. douleur de la narratrice : cri, répétit° du même radical « j’ai hurlé », « hurlements », « je hurlais »+ imparfait duratif : cri irrépressible. Nominale « ds les cris » : fin de § : les cris se prolongent : douleur. Phrases courtes, rythme heurté + toute la souffrance accumulée : les hypothèses pendant l’absence de Rob., toutes les angoisses…
. Douleur de Rob. Paradoxalement, celui ki a le + souffert n’exprime pas explicitement sa souffrance, mais cette souffrance explose malgré lui .On devine les haltes fréquentes . reprise conjonct° « et » l.6:ralenti le rythme = fatigue . Immense fatigue « et puis le sourire s’évanouit » descript° physique, mais l’écriture donne à voir l’indicible : »jusqu’à ce moment-ci », « surnaturelle ». Perce également les humiliations répétées : « il s’excuse », « déchet ».
« Les yeux levés » = appel, faiblesse.
Robert = allégorie de la souffrance.
C’est toute cette douleur qui explique la difficulté de se souvenir. Difficulté de se souvenir
. Présents d’énonciation : récit ancré ds présent de l’écriture : force de certains souvenirs, mais d’autres oubliés.
c.o.d. anteposé « de cela » l.7 = défaillance de la mémoire . Sont restées gravées des perceptions auditives (sanglots) reprise anaphorique § 3 et 4 : « je ne sais pas » : difficulté du souvenir. La 1° occurrence « je ne sais plus » coupe le récit au moment des « yeux levés » = choc du regard
. repères temporels flous : «