La délocalisation piège ou ré
J'invite toutes les personnes concernées sur cette question de la délocalisation.
Traiter la question de la délocalisation ne signifie pas de l'approuver, ni de le répprouver. Il s'agit juste de comprendre les enjeux de cette nouvelle stratégie qui anime la réflexion de plusieurs confrères. La question mérite d'être traitée sous tous les angles possibles.
J'ai rencontré plusieurs personnes qui ne voulaient pas entendre parler de cette pratique, est-ce la meilleure façon de traiter cette question ? j'espère que de plus en plus de gens viendront nous dire leur point de vu, quel qu'il soit. Alors, nous pourrons nous prémunir des risques que comportent cette pratique s'il y a des risques, ou bénéficier des avantages de cette pratique s'il ya des avantages ou peut-être un peu des deux.
Publié par Sofiane SOUIDI à l'adresse 17:14 0 commentaires vendredi 8 juin 2007
Les croyances, les incitatations et les freins à la délocalisation
La technologie est devenue disponible à des coûts de revient adéquats, certains prestataires se sont professionnalisés, les mentalités commencent à admettre la possibilité d’utiliser la voie de la délocalisation. Il y a environ 10 ans (peut être plus ?), les premières expériences ont vu le jour dans la Profession : mais ces premiers engouements ont vite déchanté car les conditionsn’étaient pas encore propices. Il semble que la tendance commence à s’inverser : aujourd’hui, ce sont plus la crédibilité technique qui reste à valider et des considérations morales (vis-à-vis de l’environnement du cabinet et de ses collaborateurs) qui freinent encore cette évolution.
Beaucoup pensent aussi que les nouveaux outils de gains de productivité disponibles actuellement peuvent offrir les mêmes prix de revient pour des prestations basiques, sans modifier la physionomie organisationnelle et humaine du cabinet.
Ils ont sans doute raison et tort à la fois : raison car effectivement, certains outils