La démographie au 19éme
Le 19éme siècle est caractérisé par la montée en puissance de l’Europe, en particulier dans les facteurs démographiques.
Révolution démographique : Passage d’un régime démographique avec un haut niveau de mort et de fécondité, à un régime moderne avec une basse natalité et mortalité, ce qui amène à un équilibre.
Au cour de ce passage, la population connais une croissance démographique importante. De 190M d’habitants à 400M en Europe. Cette hausse à un effet sur le mode rural et urbain, et joue un moteur essentiel pour l’industrie. Transition démographique en Europe.
Modèle encore en phase de nos jours, mais non commun avec tout les pays. 3 stades : Baisse de la mortalité qui influence le solde naturel positif (le solde naturel ou accroissement naturel est la différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès sur un territoire) Baisse de la fécondité grâce à des facteurs naturels qui limitent les naissances stabilisation des deux taux Dynamique de la croissance européenne
→ Le taux de mortalité chute à partir du début du 19ème siècle, notamment la mortalité infantile. Le recul de la mortalité est dû aux progrès de l'alimentation (révolution agricole), hygiène publique, puis médecine, notamment lutte contre les maladies infectieuses (vaccination).
Les conditions de vie s’améliorent différemment dans chaque pays, l’espérance de vie augmente (36 ans en 1820, 46 en 1900, 67 en 1950).
→ La natalité elle recule dû au contrôle du nombre de naissance par les couples : usage de la contraception.
Cette mentalité commence dans l’élite sociale et qui sont imités notamment dans la bourgeoisie, ce choix et un choix individualisé et non étatisé, ce qui ralentit la croissance. Les raisons sont liées à une situation de surpeuplement lié à la baisse de la mortalité, et à des problèmes d’héritages.
FRANCE = La chute de la fécondité fut très précoce vers 1790