La face cachée de l’océan

Tsunami est un mot japonais où « tsu » veut dire port et « nami » la vague, ce sont des vagues portuaires. En effet, ce sont des séries de vagues qui surgissent des entrailles de l’océan, provoqué par un mouvement du fond de l’océan dû à un déplacement des plaques tectoniques. Alors que d’autres personnes utilisent le terme « tsunami » pour désigner un évènement dévastateur capable d’emporter sur son passage tout ce qui pourrait être solide : tsunami politique, tsunami bourgeois, tsunami économique, etc.

Puissance, rapide, destructeur, c’est ainsi que les tsunamis ont marqué plus d’une centaine de millier de personnes. En effet, en décembre 2004, un tsunami a fait 220 000 morts et disparus en Indonésie et en Asie du Sud-est. Et en mars 2011, au Japon, un tsunami a fait 30 000 morts et disparus ainsi que des dégâts considérables. L’origine de ces tsunamis était un séisme de subduction, c’est une zone où une plaque tectonique glisse en dessous d’une autre plaque. À l’origine de la Terre Les Tsunamis sont des séries de vagues qui oscillent dans l’océan. Pour mieux comprendre ce phénomène physique, prenons une corde posée sur une surface plane. À l’une de ces extrémités, on donne une impulsion verticale brusque et on obtient une série de soulèvements et d’abaissements successifs qui se propage tout le long de la corde. Il est possible d’interpréter cette démonstration comme étant une approche ressemblant le plus à la propagation d’ondes. Il faut faire attention que la corde ne se déplace pas, mais plutôt elle oscille sur toute sa longueur. Donc le déplacement des vagues d’un tsunami est équivalent à ceux de la corde. Alors, les vagues oscillent dans l’océan jusqu’à ce qu’elles n’aient plus d’énergie ou qu’elles frappent les côtes, les ports, les plages, etc. De plus, tout comme la corde, les masses d’eau ne se déplacent pas, mais c’est l’ondulation qui progresse.

Figure 1 : Mouvement des plaques