La fleur du mal
Il y a un siècle de cela, la plus étrange et angoissante histoire se produisit.
Par une nuit glaciale et interminable, le manoir de Fentwich était plus que jamais étrange.
………………………
« J’ai mal ! Donnez le moi !
- Maître, je ne vous donnerai pas un anti- douleur de nouveau. Cela est beaucoup trop tôt, vous en avez pris il y a de cela d’une heure.
- Mais ma douleur… je suis harassé ! Mon corps ne m’obéit plus, les frissons de chaleur m’envahissent ! Donnez le moi.
- non maître. D’après Le procédé d’anti douleur c’est formellement interdit. Je reviendrai voir votre état dans une heure.
A la seconde où le médecin franchit la porte, je me senti délaissé, trahi, mourant. je restai allongé dans mon lit, j’attendis que quelqu’un m’enlève cette douleur insupportable. Je révâssais tout en restant aveuglé par ma douleur. Je plongeai mon regard dans la pièce puis m’arrêtai sur le tableau le plus rassurant. Celui où ma femme avait été peinte. Elle est morte peu de temps après.
Je la contemplai pendant des minutes entières, mon regard ne cessa jamais de fixer le tableau. Je divaguai, repensai à tous nos bons souvenirs, à notre mariage, à nos enfants, à elle. Elle était d’une bonté rare.
Tout à coup la porte s’ouvrit en laissant un courant d’air qui vint me glacer la peau. Mon valet était de retour.
Il s’exprima d’un air soucieux
« Tout va bien Maître ? * Oui je suis seulement pensif. Je repense à ma femme, ….. * Quelle femme charmante, j’adorai discuter avec elle.
Une douleur atroce creusa ma poitrine, je hurlai de douleur, comme si on m’avait arraché mon cœur de ma