La fontaine
Tout d’abord, « Le corbeau et le renard » dénonce l’hypocrisie des hommes. Dans cette fable, le renard flatte un corbeau. Ce dernier tient dans son bec un fromage, que le renard désire. Le renard est le parfait exemple de l’hypocrite : il dit au corbeau « que vous êtes joli, que vous me semblez beau » pour l’amadouer. Par la suite il dit que le corbeau doit certainement avoir une « belle voix », si elle est de même que son « ramage ». Le corbeau, fier, veut montrer sa belle voix. Le renard hypocrite, attend en bas de l’arbre, patiemment que le fromage tombe. Bien entendu, le corbeau chante, et le renard s’empresse de s’en emparer. Cette fable montre que l’homme cache bien des choses lorsqu’il veut autre chose en retour, que c’est un hypocrite, qui cache les choses aux gens.
De plus, cette fable montre la naïveté de l’être humain. Le corbeau aurait du se douter que le renard ne venait pas simplement pour le couvrir de compliments. Le corbeau se laisse flatter, même si le renard a un air moqueur : « vous êtes le phénix » et approche le corbeau d’une manière rusée. Le corbeau ne se doute d’absolument rien, car le renard détourne son objectif : il complimente l’apparence du corbeau au lieu de montrer son désir de fromage. De même, le corbeau est naïf, il se laisse « porter ». Le renard utilise des procédés flatteurs un peu exagérés tels que corbeau devient un nom «