La France et la constitution europeene
L’Union européenne est une institution qui constitue de nombreux accords et dimensions. Souvent l’objet de divers débats, la construction européenne, depuis sa naissance en 1951, a beaucoup développée. On peut voire sa croissance géographique, économique et politique, et par conséquence une augmentation au niveau d’intégration entre les pays. Mais il faut se demander, jusqu’au quel niveau l’intégration de la France au l’Union européenne représente une vrai adhésion ou un accord de façade avec la seule intention de réaliser les intérêts national de la France.
Politiquement, la construction européenne représente une vrai adhésion. Son développement a été marqué par plusieurs «grandes dates»; par exemple le compromis du Luxembourg en 1966, qui «met fin à les six mois de chaise vide de la France» (selon document 2). Mais, en France le niveau d'intégration désirée varie considérablement causant un processus vacillant. Victor Hugo partage le point de vue de quelques politiciens qui rêve d’un «Etats-Unis d’Europe», une unité supérieure presque considérée comme une fraternité (document 4). Mais Charles de Gaulle, président de la République de 1959 à 1969, à remarqué «Il ne suffit pas de crier comme un cabri l’Europe, l’Europe!» (document 1). Charles de Gaulle n'était pas anti-Europe; sauf qu’il était prudent; il ne voulait pas sacrifié la France totalement à l’Europe. Politiquement, on peut conclure que les accords sous la construction européenne marquent une vrai adhésion malgré les opinions qui diffèrent parmi les politiciens et les écrivants.
La plus grande date économiquement, doit être le traité de Maastricht comme conséquence l’adoption de l’euro en 2002 qui s’est ensuit. La France a joué un rôle très important dans la création de cette monnaie unique, ce qui représente une vrai adhésion. Les opinions anti-euro en France, démontrés par document 7, reflètent une changement dans